Tu sais ce qu’ils pensent de toi ?

Jeremy Perez (Chickin Marketing) lance un pavé dans la marre – Écoutez-moi bien, car voici une vérité que je martèle depuis des lustres : arrêtez de vous soucier de ce que les autres pensent de vous. Ils ne vous connaissent pas, ils se fichent de vous et, pour être honnête, ils ne pensent même pas à vous. 

Combien de fois ai-je entendu des gens dire : “Ouais, mais si je fais ça, je vais déranger, je vais gêner. Qu’est-ce qu’on va dire ?” Eh bien, laissez-moi vous dire une chose : les autres n’ont rien à dire. Ils ne vous voient pas, ils ne savent pas qui vous êtes, et franchement, ils s’en fichent autant que vous vous en fichez d’eux. Et quand bien même ils penseraient a toi, les points de vues peuvent être tellement nombreux et divergents.

Laissez-moi vous raconter une histoire. Ça a commencé pendant cette pandémie de Covid. Je me suis demandé : comment puis-je monter une agence immobilière qui continue à fonctionner, même si je suis en train de manger une langouste sur un catamaran dans les Caraïbes. Plus simplement, comment faire une vente même si je ne suis pas là ?

Et devinez quoi ? Nous avons réussi à le faire : l’immobilier libre et flexible !

Et ça a pris moins de temps à mettre en place que d’assumer pleinement que je vends des maisons sans jamais les visiter. Certains ont jugé, m’ont traité de fou, d’autres n’ont pas compris. Mais je m’en moque. J’ai créé quelque chose de nouveau. 

D’autres un peu plus curieux, se sont dit : Et si je lui demandais comment il fait ? C’est d’ailleurs un des principaux pilier des agents que je coach et ils adorent ça 😉

Le plus gros bénéfice ? du temps libre pour vivre !

C’est en creusant au cœur de l’Ikigaï que j’ai trouvé mes réponses. 

L’ikiQUOI ?

Cette philosophie Japonaise qui permet de se sentir aligné entre qui on est et nos actions. Un sentiment de joie de vivre pour l’être humain comme une mission de vie. Du côté de l’entreprise, ça serait sa mission.

Autant Jeremy que moi, réalisons des transactions sur plusieurs pays mais on ne visite pas de maisons. Nous avons mis en place une mécanique bien huilée pour gérer tout ça. 

Je ne suis plus seulement un agent immobilier. Je sais que la  force réside dans l’union. Aujourd’hui je suis davantage un trait d’union, une sorte de “Marketplace”.

Il y a encore quelques années, pour briller, pour exister, tout était question de chiffres, de quotas de vente. Mais aujourd’hui, sur le papier, j’ai zéro vente à mon actif. Et vous savez quoi ? Ça ne me dérange pas le moins du monde. Je touche une référence, je gagne ma vie, c’est sûr. Je laisse le “privilège” des classements aux agents avec qui je travaille.

Mais au fond ce qui a changé : je n’ai rien à prouver à personne. 

Je fais les choses à ma manière, je me sens libre,  et ça, personne ne peut me l’enlever.

Vivez votre vie ! On en a qu’une.