Publié Thursday le 11 January
On ne peut aider qu’une personne qui a envie d’être aidée…pourtant…
C’est pas toujours facile de demander de l’aide,
On ne sait pas forcément à qui demander de l’aide.
Être aidé ! Arfff, ça peut passer pour de la faiblesse.
Oh que non ! Je trouve que ça demande du courage de demander du soutien, de continuer d’avancer, de retrouver du sens à ce qu’on fait, ce qu’on vie.
A certaines périodes de ma vie, j’ai demandé de l’aide, à d’autres moments, cette aide est venue spontanément de personnes généreuses.
« Yann, toi tu continue d’avancer, peu importe ce qui t’arrives ». C’est ce que m’a dit une de mes bonnes amies pendant les fêtes de Noël.
Ça me caractérise bien. J’ai comme tout le monde des hauts et des bas, des vents ascendants et des embûches.
Cette détermination, je l’ai toujours eue. Elle est démultipliée depuis quelques années.
Donner au suivant…
Certains ont compris, d’autres pas.
Mais quand j’y pense, je me mets à la place des gens qui voient quelqu’un donner encore et encore sans rien demander : qu’est ce que ça cache ?
Ça cache un secret que j’ai gardé pour moi.
Je vais vous partager quelque chose de très personnel que j’ai longtemps gardé sous silence.
Pourquoi ce silence ? La peur d’être jugé, incompris.
Mais j’ai décidé dans les derniers mois d’assumer totalement celui que je suis.
Ceux qui me connaissent bien savent que j’ai une capacité à comprendre les gens parfois mieux qu’eux même. Au-delà des mots, au-delà des silences. Ce sont des intuitions.
J’ai appris à accepter et cultiver ces messages.
Il y a quelques années, j’ai vécu un épisode « d’écriture automatique ». Le stylo écrivait tout seul.
Tu te dis « What » c’est quoi ce truc de fou ? J’imaginais que le fou c’était moi.
L’écriture était illisible digne d’une ordonnance d’un médecin, mais, même aujourd’hui, je peux lire et comprendre ce qu’il y a sur cette feuille.
Ça a duré 1 heure. Quelque chose de très perturbant.
A la fin, avant que le calme de la plume revienne, toujours dans un état de conscience modifié, comme hypnotique, j’ai écrit de ma plus belle écriture :
« Bonjour, je m’appelle Yann et j’ai développé un système qui permet d’aider ceux qui veulent être aidés ».
Ok, super ! Maintenant je fais quoi avec ça concrètement ?
Sans savoir, sans avoir les réponses, j’ai toujours été animé par cette sensation profonde que je peux faire une réelle différence dans la vie des gens.
Quelques semaines plus tard, je parle au téléphone avec mon meilleur ami qui vit à 6000 km de chez moi.
On parle de tout et de rien. Une discussion entre potes.
Soudain, je lui dit :
– Il va neiger, ne prend pas ta voiture et fait vérifier la roue avant droite de ta voiture
– Il m’a répondu qu’il ne neige jamais chez lui…
Jusqu’à ce qu’il me dise :
– Oh il neige !
Le lendemain, il m’envoie un sms :
– Comment tu as su pour la roue ? J’avais un énorme clou.
Ma réponse a été très courte :
– Je ne sais pas mais merci d’avoir écouté le message.
Il y a eu d’autres événements comme celui-là. De très nombreux, à différents niveaux d’intensité.
J’avais cette profonde intuition, comme un appel : Je peux impacter positivement la vie des gens.
Je gagne très bien ma vie mais je ne suis pas millionnaire pour autant.
Même avec des capacités dont je découvre le pouvoir un peu plus chaque jour, je reste un entrepreneur dans l’âme. Celui qui est animé par entreprendre est conscient que pour donner vie à une idée, l’action est requise. Le financement aussi.
Pour donner vie et pour financer ce que je vibre comme étant ma mission de vie, depuis 2 ans j’ai divisé presque par 2 mon salaire.
Que j’ai bien fait !
Oui j’ai réduit mon niveau de vie pour donner vie à ma vision.
J’ai d’abord redonné à la communauté.
Des dons sur chacune de nos transactions à des associations choisies par moi et aussi par mes clients.
Donner de l’argent, n’était pas suffisant à mes yeux. Il fallait que le corps soit engagé, physiquement engagé.
Je me suis mis à courir et à chaque course, je donnais avant tout de ma personne et aussi 10$ par kilomètre parcouru.
En 2 ans, j’ai parcouru 7 semi-marathon et le marathon de Paris.
Même avec tous ces kilomètres multipliés par 10$, ça ne change pas le monde mais en tout cas j’y contribue. Je suis vraiment fier de ça.
Dans le même temps, je me suis mis à l’écoute de personnes qui en exprimaient le besoin.
Des sensations, des messages comparables qu’avec mon pote et son histoire de roue avec un clou ont émergé pendant ces conversations.
Ce que je ressens est physique comme un frisson, puissant comme tomber amoureux et d’une évidence déconcertante comme 1+1=2.
J’ai pu contribuer à les aider.
A force d’aider, d’écouter, les véritables défis sont apparus. Les défis des humains en général et des entrepreneurs en particulier (en tout cas de nombreux d’entre eux).
Eh oui, si on écoute véritablement les autres, ils se livrent et ensuite on cherche ensemble les solutions.
Bon même si les solutions m’apparaissent intuitivement évidentes en quelques instant, j’ai appris à être patient et à guider les autres à trouver les meilleures solutions pour eux.
Crois moi, 9 personnes sur 10 ne sont pas prêtes à entendre du tac o tac, un message même excellent pour eux.
« Le meilleur conseil au mauvais moment est un mauvais conseil.
Il est important de laisser à l’autre le temps de faire son propre chemin. »
J’ai continué ma mission d’aider les autres, complètement gratuitement, sans compter mon temps.
J’ai offert (et j’offre encore ) des masterclass une fois par mois pour aider les agents immo à développer leurs entreprises.
Je prends le temps pour quelqu’un qui a besoin.
Certains ont compris qu’ils pouvaient aller plus loin et m’ont demandé du coaching individuel.
Ok GO ! On y va ! Je ne sais pas où on va mais on y va. Merci à Joannes qui a été le premier à me demander et tous les autres qui ont suivi dans le mouvement [R.E]Flex.
J’ai partagé des centaines d’heure en coaching individuel, en coaching de groupe. Ça a changé leur vie. Ça a changé aussi ma vie.
Le business est très cartésien pourrait on penser ?
Et la spiritualité, l’univers des bien-perchés ?
C’est ce que je me disais il y a encore quelques années.
Seulement les entrepreneurs sont avant tout des êtres Humains.
Pourquoi je n’en ai pas parlé publiquement pendant longtemps…
Pourtant, Il y a même quelques années, avant d’interviewer mon amie charlotte, je lui avait dit :
– “Embarque pas trop sur la spiritualité, on parle à des entrepreneurs”. On avait quand même libéré le sujet.
Pourquoi je lui avais demandé ça alors qu’elle m’avait aidé avec toute la puissance de son don et que moi je commençais à peine à comprendre ce que je vivais ?
La peur d’être jugé.
Comment tu fais ça ?
Comment tu devines ça ?
Comment tu sais ça ?
On a commencé à en parler en privé.
Puis à demi-mot lors d’une interview avec mon ami youthana dans son podcast « fréquence abondance » j’ai évoqué ma capacité à comprendre les autres intuitivement. Juste ça, ni plus ni moins.
Cet automne, avant une conférence, j’ai eu une conversation avec un coach en neuro-programmation, Alexandre Bougeard, je lui parlais de la puissance de comprendre qui on est et de l’accepter.
Il m’a répondu : le plus important encore est de l’assumer. Assumer, le mot libérateur est lancé.
Comment aider des entrepreneurs à développer des entreprises alignées à qui ils sont vraiment, attirer les bons clients et les bons collaborateurs pour eux. Comment les encourager à faire évoluer leur perspective, à passer à l’action, structurer leur entreprise afin qu’elle soit vraiment rentable et qu’ils puissent profiter de la vie.
Énoncé de mission ambitieux !
En rassemblant 26 ans d’immo, d’humain et de spiritualité, j’y suis arrivé. Des personnes les plus sensibles à la spiritualité aux plus cartésien, tout le monde y trouve son compte.
Est-ce que c’est moi qui le dit ? Non ! C’est eux, ces femmes et ces hommes qui témoignent de l’impact que mon approche a pu leur apporter.
On ne peut aider qu’une personne qui a envie d’être aidée…pourtant…
C’est pas toujours facile de demander de l’aide,
On ne sait pas forcément à qui demander de l’aide.
Toi ! Oui, toi qui lis ces mots, tu connais peut-être une personne, un être humain, un agent immobilier qui se trouve dans une situation telle, que tu te dis qu’il ou elle aurait besoin d’aide pour relancer son business, redonner du sens à ses actions, et renouer avec une entreprise rentable.
Dis lui que quelqu’un peut certainement l’aider.
Je vais offrir totalement gratuitement à 5 personnes au cours du premier semestre 2024, l’accompagnement de coaching « croissance ». C’est 3 mois de coaching que je facture habituellement plusieurs milliers de dollars.
C’est ma façon de contribuer, de donner au suivant.
Ces personnes pourront à leur tour, peut-être aider quelqu’un dans le futur.
Imagine à quoi pourrait ressembler notre monde si les gens s’entraident ?
Fait passer le mot à cette personne en toute confidentialité. Nos échanges resteront également totalement confidentiels.
Yann
C’est d’ailleurs ce qu’apprécient le plus les agents qui participent à mes formations, mes conférences ou encore mes sessions de coaching en France ou au Quebec.
Je crois qu’une des choses les plus importantes à te dire, c’est qu’avant d’être un coach et formateur, je suis agent immobilier comme toi (depuis 1997).
Je suis toujours sur le terrain et parfaitement connecté à la réalité du marché actuel.